Une liste de bugs un peu trop longue pour la nouvelle Box de Xavier Niel
Toujours selon le magazine spécialisé, le boîtier aurait tendance à planter, que ce soit en visionnage IPTV, en visionnage TV ADSL ou lors de l'utilisation d'applications issues du marché d'applications Android. L'appairage de la télécommande pose également problème, puisque la perte de la liaison est fréquente et oblige à enlever et replacer les piles.
Il est possible que ces problèmes de surchauffe viennent d'une surchauffe de la puce Broadcom utilisée. Particulièrement imposante pour ce qu'elle renferme, celle-ci semble dégager beaucoup de calories. Un ventilateur est bien présent, mais tourne au ralenti. Cette surchauffe est d'autant plus étonnante que le boîtier ne consomme pas beaucoup d'énergie, avec à peine 12 watts en visionnage TV. En revanche, impossible de connaître la consommation en mode veille, puisque le boîtier s'éteint entièrement à chaque pression du bouton On/Off de la télécommande. Les paramètres renferment pourtant une option permettant de choisir entre veille et extinction, mais qu'importe le choix effectué, c'est l'extinction totale à chaque coup. Dommage, l'allumage du boîtier est du coup particulièrement long : comptez près de 1 minute et 30 secondes pour arriver à lancer une chaîne ou une application.
Le Freebox Mini 4K présente tout de même quelques atouts !
En revanche, si l'on exclut les plantages, la Freebox Mini 4K se montre assez prometteuse selon le spécialiste. La navigation à travers les menus est fluide et la réalisation, plutôt bien faite. La déception vient plutôt du contenu du Google Play Store, bridé sur cet appareil. Point de Netflix par exemple (qu'il conviendra d'installer manuellement en récupérant le fichier d'installation APK), ni même de Facebook ou Twitter.
« Plutôt que de publier un test complet réalisé à la hâte, nous préférons attendre que Free dégaine une première mise à jour de son boîtier. Nous restons néanmoins perplexes face à la situation, puisqu'il est impossible de penser que les tests réalisés en interne n'aient pas permis de déceler de tels dysfonctionnements avant la mise sur le marché. Une fois de plus, les abonnés jouent aux bêta-testeurs et c'est inadmissible. » a annoncé Les Numériques.
Source : Les Numériques